Le 9 décembre dernier, le comité national provisoire pour la promotion de l’haltérophilie, du culturisme et disciplines associées (CNPPH) ouvrait son exercice 2017-2018 par une compétition d’initiation et de découverte. Une étape en direction de JO de 20120 et 2014.
L’haltérophilie reste un terreau fertile pour le dopage. Il n’en demeure pas moins que les pratiques et outils de l’haltérophilie sont à partager presque par tous. Des lors, l’on comprend mieux la mission du CNPPH conduit par Ibrahima Thioye, cet ancien inspecteur de la jeunesse et des sports et ancien directeur du stade Léopold Sedar Senghor de révéler dans Record : « A travers le culturisme, on met en avance les corps bien sculptes. Alors que le fitness peut trouver son rayonnement à travers une normalisation des salles qui le pratiquent. Pour l’haltérophilie, nous aspirons à des campagnes olympiques pour 2020 et 2024 ».
Source : wiwsport.com